Madoff : Premières Alertes en 2001

Publié le par gotlibmorveux


La commission américaine des opérations de bourse (SEC), est mise à mal encore dans cette affaire, mais quand en plus on sait qu’il y a eu des alertes.

 

En 2001, MAR/Hedge, une publication spécialisée sur les fonds d'investissements, se demandait déjà comment les investissements de M. Madoff pouvaient assurer «une telle régularité et un tel manque de volatilité». Laura Unger, ancienne responsable de la SEC, juge que l'autorité est sous-financée et que les marchés étaient devenus «bien trop complexes, bien trop rapides pour que l'agence puisse suivre». L'escroquerie de Madoff consistait à payer les intérêts des clients existants grâce au capital apporté par les nouveaux.

(Source Le Figaro)

 

Ce n'est pas la première fois que la SEC tarde à réagir alors que des alertes pouvaient l'amener à effectuer des examens plus approfondis. «Pour la quatrième fois, la réglementation américaine est en cause» a déclaré le président de l'Autorité française des marchés financiers (AMF), Jean-Pierre Jouyet. Il cite ainsi les faillites du fonds spéculatif LTCM (1998), du courtier en énergie Enron (2001) et de la banque Lehman Brothers (2008).

(Source Le Figaro)

 

Est-ce que c’est le haut de la pyramide qui vient de tomber et les autres vont suivre ?

Ou ce n’est que la partie caché de l’iceberg ? En France risque t on de voir le même phénomène.

 

La bourse à t elle un avenir à long terme ?

Publié dans info serieuse

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P
Ne t'en fait pas pour la bourse mais plutôt pour les employés . Ce sont eux qui paieront les pots cassés . Quand on voit que Madoff n'est même pas en prison pour ce qu'il a fait ( 50 milliards , c'est rien ! ) , je me dit que le capitalisme est sans état d'ame et sans limite .<br /> Il est bien évident également que ça n'est que le début des affaires de ce type . Quand aux répercutions , je te signale que les Français sont directement touchés eux aussi par l'affaire Madoff . En effet , certaines OPCVM ( des obligations investies en 'Madoff') détenus par une grand nombre d'épargnant ont perdu quasiment toute leur valeur ....
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